Episode 13

Titre : LE SECRET DES PERES

 
 
 
 

Personnages secondaires :


Jason Haghia : Jeune Grec d’une vingtaine d’années, recueilli et élevé par le Grand Prêtre de Florès. Sa mère, qui faisait partie d’un groupuscule militant pour la liberté de la Grèce après l’invasion turque, a été tuée par l’armée de l’envahisseur. Beaucoup accusent le père de Jason, dont il ignore l’identité, d’avoir révélé aux autorités l’emplacement de leur repaire en contrepartie de quelques pièces d’or. Jason est à sa recherche. Il est maintenant au Pérou en possession du livre de Tao et du parchemin dérobé au Grand Prêtre de Florès.


Manaco : Descendant de l’Empire de Mû. Il possède le condor. Zia pense qu’il a un lien de parenté avec Tao. Il travaillerait pour l’Empereur de Mû et sa principale mission est la destruction des cités d’or.


Le Grand Prêtre de Florès : Ses intentions restent assez obscures. On sait qu’il veut créer un « Nouvel Empire », mais on ne sait pas exactement ce qu’il recherche. On vient de découvrir que lui et Manaco se connaissaient. Ils avaient une mission commune, la destruction des cités d’or.


Kardiphôs : Son nom n’a été évoqué qu’une seule fois par le Grand Prêtre de Florès qui est visiblement sous ses ordres. Mais qui peut bien être ce nouveau personnage ?


Juan De Vaca : 49 ans. Navigateur espagnol et ami de Pizarro. Très intéressé par les cités d’Or.


L’Amiral : 33 ans. Fidèle ami de de Vaca. Il a été traducteur pour Pizarro, mais après plusieurs différends et violentes disputes, il est retourné en Espagne. Il a accepté de repartir avec Juan. Il maîtrise le Quichua [langue des Incas] et a une grande admiration pour la civilisation inca. Il regrette maintenant d’être revenu au Pérou.


Don Diego de Almagro : 58 ans. Compagnon d’arme de Pizarro. Excellent soldat et fantassin. Il est arrivé à Cajamarca avec 200 hommes.


Atahualpa : Empereur illégitime de L’Empire Inca. Il est tombé dans un piège tendu par Francisco Pizarro à Cajamarca. Il est maintenant prisonnier des Espagnols. Il est le dernier descendant du grand Huayna Capac.


Sinchi : 27 ans. Il faisait partie de la garde privée d’Atahualpa, l’empereur Inca. Il a été capturé à Cajamarca en même temps que l’Empereur, pendant l’embuscade organisée par Pizarro le 16 novembre 1532. On a appris qu’il était de mèche avec Almagro et qu’il était chargé de ramener les enfants à Cajamarca. Il semble déçu par ses compatriotes pour des raisons que l’on ignore encore.


Francisco Pizarro : La cinquantaine. Principal acteur de la conquête du Pérou. Excellent stratège. C’est un homme brutal, voire cruel. Il a promis à Atahualpa que s’il lui faisait apporter une quantité importante d’or, il épargnerait sa vie.

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Résumé de l’épisode précédent :
Après une chute, Esteban se retrouve seul dans un village autochtone. Il semblerait qu’une prophétie ait annoncé son arrivée aux villageois. Zia, Tao et leurs compagnons sont à sa recherche.

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Village autochtone. Il pleut toujours. Le sage du village se trouve devant le temple, il fixe le porche perdu dans ses pensées. L’intensité de la pluie diminue, le soleil fait son apparition. Le sage se tourne en direction du soleil, puis, en esquissant un sourire, en direction de la maison où se trouve Esteban, il se dirige vers celle-ci.

Dans la maison. Esteban s’est réveillé. Le sage, trempé, entre dans la maison.

-Comment vas-tu mon garçon ?

Esteban reprend ses esprits peu à peu.

-Je vais bien. Qui êtes-vous ?
-Je m’appelle Panaca. Nous t’avons trouvé inconscient dans la forêt et nous t’avons ramené dans notre village.
-Il n’y avait personne avec moi ? (E)
-Non.
-Tu as faim ?
-Oui, un peu.
-Je vais aller te chercher de quoi te nourrir. (P)
-Merci beaucoup.
-C’est la moindre des choses. Comment t’appelles-tu ?
-Esteban..

Panaca sort de la maison. Esteban sort de son lit, puis de la maison. Le soleil a complètement chassé les nuages. Le regard d’Esteban se porte directement sur le temple. Ensuite Esteban regarde autour de lui : le village est étrangement mort, il n’y règne aucune activité. Panaca ressort d’une des maisons avec un plat de fruits.

-Que fais-tu déjà debout ? Il faut te reposer. (P)
-Je suis en pleine forme. (E)
-Tant mieux, viens à l’intérieur.

Ils entrent. Esteban et Panaca prennent place à une table.

-Tu ne voyageais pas seul ?
-Mes amis m’accompagnaient. (E)
-Je regrette de ne les avoir pas vus lorsque l’on t’a trouvé. Je peux envoyer quelqu’un là-bas pour les retrouver.
-Tu ferais ça ?
-Bien entendu.
-Merci. Panaca, lorsque je suis sorti, je n’ai vu personne, où sont les villageois ?

Panaca se lève.

-Ils sont allés rejoindre notre père le Soleil.
-Que s’est-il passé ?
-Ils ont été rappelés par notre père. Je reviendrai plus tard, repose-toi seulement.

Panaca sort de la maison. Il rejoint un autre homme.

-Mayata, Esteban m’a dit qu’il n’était pas seul. Retourne là où on l’a retrouvé.
-Bien, Panaca.

Mayata s’éloigne. Esteban est sorti de la maison. Il se dirige vers Panaca. Esteban regarde en direction du temple.

-Il est étrange ce temple… (E)
-Mystérieux plutôt, tu veux le visiter ? (P)
-Volontiers.

Ils se dirigent vers le temple et y pénètrent. L’intérieur est illuminé par le soleil qui entre par de nombreuses ouvertures le long des parois. Sur le sol, des dalles en or conduisent à une autre pièce encore dans la pénombre. Elles sont bordées à gauche et à droite une rangée de deux colonnes. Tout le plafond est entièrement gravé et peint, on peut y reconnaître des représentations de Viracocha.

-C’est magnifique. Je n’ai rien vu de pareil….(E)
-Ce temple est unique…

Ils arrivent dans la seconde partie du temple. C’est une salle éclairée par des torches. On y voit une statue de trois mètres de haut entièrement en or . A en juger par le trident qu’il porte dans la main droite, elle représente Poséidon,. Dans l’autre main, il porte une sorte de sceptre à l’emblème du soleil.

-Ohhhh ! (E)

La statue se dresse dans un bassin de deux mètres carrés et de 20 centimètres de profondeur, rempli d’un liquide jaunâtre. Au pied de la statue est fixé une grande plaque en or partagée par une bande verticale en jade. De chaque côté de cette bande, il y a des caractères gravés. D’un côté on peut reconnaître du grec ancien et de l’autre la langue de Mû.

-Mais c’est la langue de Mû ? (E)
-Tu connais ce langage ?
-Oui, celui de droite, Tao pourra le traduire sans peine.
-Tao ? L’un de ceux qui t’accompagnaient ?
-Oui, c’est un descendant de l’Empire de Mû.
-Comment ? Esteban, tu es un garçon plein de surprise.

Mayata arrive, accompagné de quelqu’un qui est encore dans l’ombre. Ils s’approchent.

-Panaca, me revoilà.

Esteban et Panaca se retournent. L’inconnu et Mayata arrivent dans la lumière. Esteban découvre que c’est Jason qui accompagne Mayata.

-Toi ? (E)
-Salut Esteban… (J)
-Je vois que vous vous connaissez, par contre je n’ai pas trouvé tes autres amis. (M)
-Il ne voyageait pas avec nous, tu es seul ? (E)
-Oui, ne t’inquiète pas, je ne suis pas là en ennemi. (J)
-Quel est ton nom ? (P)
-Jason.
-Sois le bienvenu dans notre village Jason. (P)
-Je ne resterai pas longtemps. (J)

Jason s’éloigne.

-Etrange individu. Il se dégage de lui une telle tristesse… (P)
-De la tristesse ? (E)

Esteban regarde Jason sortir du temple.

Le soir . Le soleil se couche. Une belle lumière orangée baigne le village. Jason, les bras croisés, regarde l’horizon. Esteban le rejoint. Il reste à côté, sans rien dire. Après quelques minutes, Jason l’interroge :

-Qu’est-ce que tu veux ? (J)
-Rien. (E)

Silence. Jason tourne la tête vers Esteban.

-Toujours à la recherche de ton père ? (J)
-Oui, mais je suis de plus en plus convaincu que plus jamais je ne le reverrai.

Jason le regarde, perplexe. Esteban est très serein.

-Que veux-tu dire ? (J)
-Je pensais qu’en retrouvant les cités d’or, je retrouverais aussi mon père, mais elles me l’ont pris…

Esteban s’éloigne. Le lendemain matin. Pedro, Sancho, Sinchi, Zia et Tao sont en pleine forêt. Pichu vient vers eux en criant.

-Taaoooo, Taaaoooo, Taaaoooo. (P)
-Qu’est-ce que tu as vu, Pichu ? (T)

Ils suivent Pichu en courant jusqu’à sortir de la forêt pour arriver au bord d’une falaise. Qui surplombe le village.

-Esteban est là-bas… (Zia)
-Comment peux-tu en être aussi sûre ? (Tao)
-Je le sens.

Tout d’un coup, ils voient le grand condor passer dans le ciel. Il vole lentement brillant de tous ses feux. Sinchi est fortement impressionné par cette apparition.

-Mais qu’est-ce que c’est ? ! (Sin)
-C’est une invention du peuple de Mû. (T)

Le condor disparaît à l’horizon. Sinchi reprend ses esprits.

-C’est ton peuple qui a construit un tel engin…qui vole tel le condor ? (Sin)

Tao rit, un peu gêné :

-Oui.
-… (S)

Ils se remettent en route en direction du village.

Esteban se réveille et se redresse. Il voit Pichu posé sur le rebord de la fenêtre.

-Pichu !

Esteban se lève d’un coup. Pichu s’envole. Esteban sort de la maison. Il s’arrête. Il voit Zia, Tao, Sinchi, Pedro et Sancho arriver. Zia le voit , un sourire illumine son visage et elle court dans sa direction. Ils s’enlacent.

-Oh Esteban, on a eu si peur !
-Zia…

Ils sont rejoints par Tao.

-Content de te revoir en forme, Esteban. (T)

Il lui fait une tape amicale. Esteban sourit. Pichu vient se poser sur l’épaule de Tao.

-Moi aussi, les amis. (E)

Sinchi lui fait un signe de la main.

-Nous, on pensait avec Pedro, que tu nous avais faussé compagnie pour trouver seul une nouvelle cité d’or. (San)
-Mais non, on n’a jamais pensé ça. (Pedro)
-Ah bon ? Mais si, tu as même dit qu’il ne ferait jamais ça ou bien c’était moi ?
-J’ai jamais parlé de ça avec toi, Sancho.
-Et quel intérêt Esteban aurait a trouver les cités d’or tout seul, l’or ne l’intéresse pas. (San)
-Oui, et c’est ce que je disais hier. (P)
-Mais j’ai cru qu’on n’avait jamais parlé… (San)

Sinchi ne peut s’empêcher de rire.

-Vous êtes exaspérants ! (Sin)

Esteban, Tao et Zia commencent à rire à leur tour. Panaca les rejoint :

-Ces rires me réchauffent le cœur ! Soyez les bienvenus, amis d’Esteban. (Pa)
-Panaca, je te présente, Zia, Tao, Sinchi, Pedro, et Sancho. (E)
-Zia ? De Puna ? (Pa)
-Oui, vous me connaissez ? (Z)

Panaca tombe sur ses genoux et pause ses mains sur les épaules de Zia.

-Tu ne te souviens pas de moi. Je venais souvent voir ton père à Puna avant l’arrivée des Espagnols.
-Je suis désolée, votre visage ne me dit rien. (Z)
-Peu importe, quelle joie de te voir en vie, j’ai tellement de questions à te poser. As-tu retrouvé ton père ?





-Oui, mais il s’est éteint quelques heures après nos retrouvailles. (Z)
-Quel malheur…mon vieil ami, et c’était près de la première cité d’or ? (Pa)
-Oui, comment le sais-tu ? (E)
-Il avait appris quelque temps auparavant plusieurs renseignements sur le mystérieux médaillon qui se transmettait de génération en génération à la première fille. Que ce médaillon était étroitement lié aux mystérieuses cités d’or… (Pa)
-Il n’ignorait donc pas la provenance du médaillon ? (Tao)
-Il n’était pas très loquace à ce sujet, mais ce qui est sûr, c’est que ta mère, Zia, devait en savoir beaucoup plus, vu que ce médaillon provenait de sa famille.
-C’est logique. (T)
-Vous avez connu ma mère ? (Z)
-Non, et je ne sais rien sur elle. Vous savez, Papa Camayo considérait le médaillon comme un simple héritage de la famille de sa femme, jusqu’au jour où il en apprit plus sur celui-ci.
-Vous savez qui lui en avait parlé ? (Z)
-Je me souviens de ce terrible jour où les Espagnols sont arrivés et t’ont enlevée. Il est venu me rejoindre ici. Jusqu’à ce jour il était toujours resté très évasif au sujet de son passé et je me souviens que ce jour-là il me raconta une histoire étrange au sujet d’un homme qu’il avait rencontré quelques semaines auparavant à Cuzco, un homme qui était à la recherche de son fils qui possédait lui aussi un médaillon qui provenait de sa famille…
-C’était mon père. (E)
-Ton père ? ! (Pa)
-Probablement. (E)

Il commence à pleuvoir de plus en plus violemment.

-Rentrons, suivez-moi.

Il se dirige vers l’une des maisons du village. Le ciel s’assombrit. On retrouve Esteban, Zia, Tao, Sinchi, Panaca, Sancho et Pedro assis autour d’une table. La pièce est éclairée par des torches.

-Ton père, Esteban, a révélé à Papa Camayo que les médaillons étaient les deux seules clés des sept cités d’or. Il a dit aussi qu’il comptait se rendre à celle du continent pour y attendre son fils. Il devait normalement passer à Puna afin de rencontrer Zia, mais le Soleil en a décidé autrement.
-Avait-il dit d’où il venait ? (E)
-Papa Camayo ne m’a rien dit, par contre, ton père connaissait l’emplacement de la cité d’or. (Pa)
-Il devait être dans le secret. (T)
-Encore une chose que Papa a évoqué, le fait que kyros, c’était son nom, fuyait quelqu’un…
-Il était poursuivi ?
-Je ne peux malheureusement pas t’en dire plus, Esteban.

Mayata arrive chargé de deux plats l’un avec 5 perdrix bien rôties et assaisonnées par ses soins et l’autre garni de pommes de terres bouillies avec des bananes. Sinchi se lève spontanément pour aider Mayata à poser les plats sur la table.

-Ha Mayata, merci d’avoir pensé au repas ! Mayata est un excellent cuisinier !(Pa)
-On se réjouit de goûter ! (Z)

Esteban se lève.

-Je reviens !

Esteban sort de la maison et se dirige vers une autre qui se trouve plus haut dans le village. Il fait nuit, mais la lune est pleine. Il entre.

-Jason ! ?

Il n’y a personne. Il sort.

-Jason ! ? Où es-tu ? (E)

Esteban se dirige vers le temple. A l’intérieur, Esteban trouve Jason devant la statue de Poséidon. Il entend les pas d’Esteban. Jette un rapide coup d’œil sur lui puis regarde à nouveau la statue.

-Jason ? On va manger. (E)
-C’est Poséidon, il n’y a aucun doute. (J)
-Poséidon ? (E)
-Oui, un dieu de la mythologie grecque, et là c’est du grec ancien.

En montrant la plaque en or.

-Tu arrives à lire ? (E)
-Pas tout, il y a certains mots que je ne comprends pas et j’obtiens une phrase qui n’a aucun sens. (J)
-Tu nous cachais des choses. (Esteban en souriant)
-Ce temple, ici, en plein milieu du Nouveau Monde, c’est irréel… (J)
-Tu viens manger ? (E)
-Je n’ai pas faim.
-J’ai de la peine à te croire, en tout cas il reste une place à notre table.

Esteban s’éloigne. Il retourne vers les autres.

-Où es-tu allé Esteban ? (Tao)
-Prévenir Jason qu’on mangeait.
-Celui qui nous ramenait de la nourriture en cachette ? (Z)

Esteban acquiesce de la tête.

-Il est là ce traître ?! Il est en possession du livre de mes ancêtres ! (T)

Esteban s’assied.

-Ne t’inquiète pas, Tao, il va te le rendre ton livre. (E)
-C’est quoi ce ton sarcastique ? (T)
-Je plaisantais. (E)

Ils sourient.

-Et si on commençait à manger ! (Sancho)

-Bon appétit à tous ! (Panaca)

Tout le monde commence à manger à part Zia qui regarde Mayata resté debout à côté de Panaca. Elle s’adresse à lui.

-Tu ne manges pas Mayata ? (Zia)
-Je mangerai seul après. (M)
-Mais pourquoi, seul, alors qu’on pourrait manger ensemble ? (Z)
-Mais c’est que, je ne sais pas si je peux. (Ma)
-Oui, viens, rejoints-nous ! (Pa)

Mayata, un peu gêné, prend place à la table.

-Exquis ce repas ! (Tao)

Dehors, Jason se dirige vers la maison où ils sont en train de manger. Mais tout d’un coup il s’arrête et fait demi-tour.

Plus tard. Esteban, Zia et Tao marchent dans le village avec une torche.

-Jason n’est pas venu nous rejoindre. (E)
-Tu es déçu ? (Z)
-Un peu, je pensais qu’il viendrait. (E)
-Il a toujours eu un comportement étrange, il ne faut pas oublier qu’il est avec le grand prêtre. (T)

Ils entrent dans la maison où dormait Esteban. Deux autres paillasses ont été préparées pour Zia et Tao. Esteban voit le livre de Tao posé sur la sienne.

-Regarde Tao !

Tao voit son précieux livre et saute dessus.

-Yahooo ! Enfin je te retrouve ! (T)
-Jason nous a encore quittés. (Z)
-Oui, le fait qu’il nous ait laissé le livre prouve qu’il commence à se poser des questions sur le grand prêtre.
-Il a quand même gardé le parchemin. (T)
-De toute façon, tu l’as déjà traduit, non ? (E)
-Oui, c’est vrai. (T)
-Pourquoi ne pas nous en avoir parlé ? (Z)
-Je n’ai pas encore trouvé la signification de la phrase que j’ai pu traduire et pense que ce parchemin devrait être complété par d’autres.
-Quelle est cette phrase ? (E)
-« Au centre des Sept Cités vous trouverez le salut » C’est la traduction que j’ai obtenue.
-« Au centre des Sept Cités vous trouverez le salut » ? (Z)
-Le Grand Héritage ? (E)
-Non, je ne pense pas. (T)
-On va y réfléchir. (Z)
-Il est possible qu’on trouve des précisions dans le temple, son aspect ressemble beaucoup au souterrain de Florès. (T)
-On verra ça demain. (E)

A suivre…

 
 
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